Dans la nuit noireSouffle la tempête,Un rêve prémonitoireS’insinue en tête. Entamer le vol infiniDans un corps rajeuni,Briser les mensongesDu spectre des songes. Ce ciel inconnuEst pourtant mis à nu,Au gré des bourrasquesd’une idée fantasque.Il est le septième souffle
Douces et innocentes rêveriesDans la nuit profonde,Basses vibrations du petit matinTendent l’inspiration.Mystérieuse LunaA l’aurore, se replie.
Mordre dans le cerveau, sentir le gout du sang, mettre la bête à mort. Une poupée sous contrôle, se repaitre de sa carcasse.
Si douce au printemps de sa vie.Meurtrie par le temps.Cherchant un chemin par dessus tout,au dernier soir, elle dormira apaisée.
