Il y a des flocons en suspension, figés dans le bleuté du matin comme l’air glacé pénétrant les narines.
Il y a la suie, le charbon, la fumée d’un brasero d’où s’échappent en feux d’artifice des gemmes éphémères.
Il y a des ombres paisibles qui se meuvent, silhouettes crépusculaires après la journée de labeur.
Il y a des cendres. Sombre décembre.

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